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Beauty, Fashion
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28 octobre 2018

What to Pack for Summer Holidays

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Lisez-moi chaque mois sur ELLE.fr

Découvrez en librairies mes livres Il était une fois les pompiers (2020), Le dressing code (2019, et désormais au format poche) et Antiguide de la mode (2014).

Rejoignez mon atelier et ma masterclass d’écriture en ligne Trouver les mots justes.

Mes chroniques sur ELLE.fr


9 décembre :
Pourquoi les paillettes gagnent toujours à la fin

17 novembre
: Que nous enseignent vraiment nos vêtements moulants ?

12 octobre : Déco, resto, réseaux sociaux, fashion libido… Comment lutter contre la fatigue décisionnelle ?

24 septembre : En prenant du poids j’ai trouvé mon style

13 septembre : Comment je me suis réconciliée avec ma to-do list 

29 juillet : Je ne voyage pas léger… et j’assume

20 juillet : Ce que notre valise d’été dit de notre moi idéal

8 juillet : Réhabilitons l’essayage, cette leçon de style sans obligation d’achat

11 mai : L’inconfort est notre norme vestimentaire et il est temps que ça cesse

21 avril : Quinze ans de blog détruits, ce goût de cendre dans ma bouche

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MES LIVRES

2021 – « Le Dressing Code : la méthode pour porter l’intégralité de votre garde-robe » (éd. Leduc.s, 192 pages, format poche, 6 €))

2020 – « Il était une fois les pompiers : héroïsme, discipline, adrénaline, sacrifice » (éd. Marabout, 288 pages, grand format, 25 €)

2019 – « Le Dressing Code : comment porter (enfin) l’intégralité de votre garde-robe » (éd. Leduc.s, 176 pages, format broché, 16 €))

2014 – « Antiguide de la mode : manuel de survie vestimentaire » (éd. J’ai Lu, 160 pages, format poche, 6 €)

Hi, I’m Emily Grace

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Ici Bali la bricole, avec sa dernière expérience capillaire. 
.
J’étais inconsolable depuis la disparition de mon produit fétiche, le #woolshake de @redken, qui donnait du volume aux cheveux même longs sans les graisser ni les cartonner. Ça sentait super bon et ça tenait vraiment la journée. 
.
Je n’ai jamais trouvé d’équivalent depuis le temps (quasiment dix ans, non ?) et je ne dis pas que je l’ai aujourd’hui mais… c’est ce que j’ai obtenu de plus proche = de la crème solaire en spray, vaporisée dans le creux des mains et froissée aux doigts dans les longueurs, sur cheveux bien essorés. 
.
Je noue le tout, encore mouillé, en chignasse, une grosse demi-journée au moins, et quand je dénoue les cheveux sont secs et volumineux avec un petit effet wavy. 
.
Là je viens de prendre la photo, je suis à J+1 du shampooing. 
.
J’ai utilisé ma crème solaire habituelle, à savoir la Nuxe indice 50 en « spray fondant » (swipez) mais je suis prête à parier que ça marche avec une crème solaire du même genre, c’est-à-dire une texture suffisamment liquide pour être diffusée en spray. 
.
Voilà c’était mon tuto beauté annuel, je suis tranquille jusqu’en 2023.
Ici Bali la bricole, avec sa dernière expérience capillaire. 
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J’étais inconsolable depuis la disparition de mon produit fétiche, le #woolshake de @redken, qui donnait du volume aux cheveux même longs sans les graisser ni les cartonner. Ça sentait super bon et ça tenait vraiment la journée. 
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Je n’ai jamais trouvé d’équivalent depuis le temps (quasiment dix ans, non ?) et je ne dis pas que je l’ai aujourd’hui mais… c’est ce que j’ai obtenu de plus proche = de la crème solaire en spray, vaporisée dans le creux des mains et froissée aux doigts dans les longueurs, sur cheveux bien essorés. 
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Je noue le tout, encore mouillé, en chignasse, une grosse demi-journée au moins, et quand je dénoue les cheveux sont secs et volumineux avec un petit effet wavy. 
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Là je viens de prendre la photo, je suis à J+1 du shampooing. 
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J’ai utilisé ma crème solaire habituelle, à savoir la Nuxe indice 50 en « spray fondant » (swipez) mais je suis prête à parier que ça marche avec une crème solaire du même genre, c’est-à-dire une texture suffisamment liquide pour être diffusée en spray. 
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Voilà c’était mon tuto beauté annuel, je suis tranquille jusqu’en 2023.
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Ici Bali la bricole, avec sa dernière expérience capillaire. . J’étais inconsolable depuis la disparition de mon produit fétiche, le #woolshake de @redken, qui donnait du volume aux cheveux même longs sans les graisser ni les cartonner. Ça sentait super bon et ça tenait vraiment la journée. . Je n’ai jamais trouvé d’équivalent depuis le temps (quasiment dix ans, non ?) et je ne dis pas que je l’ai aujourd’hui mais… c’est ce que j’ai obtenu de plus proche = de la crème solaire en spray, vaporisée dans le creux des mains et froissée aux doigts dans les longueurs, sur cheveux bien essorés. . Je noue le tout, encore mouillé, en chignasse, une grosse demi-journée au moins, et quand je dénoue les cheveux sont secs et volumineux avec un petit effet wavy. . Là je viens de prendre la photo, je suis à J+1 du shampooing. . J’ai utilisé ma crème solaire habituelle, à savoir la Nuxe indice 50 en « spray fondant » (swipez) mais je suis prête à parier que ça marche avec une crème solaire du même genre, c’est-à-dire une texture suffisamment liquide pour être diffusée en spray. . Voilà c’était mon tuto beauté annuel, je suis tranquille jusqu’en 2023.
il y a 3 jours
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Nous n'allions pas en rester là, n'est-ce pas ?
Le côté casse-cou, venu assez tard dans sa carrière, à lui seul me fascine. Pour tout ce qu'il raconte en creux du personnage, et de sa solitude. Une quête éperdue d'apesanteur, aux limites de l'autodestruction.
.
Mais parce que je suis une personne âgée et que j'ai vu la plupart de ses films en salles, je sais aussi tout ce que Tom Cruise est d'autre, du beau gosse solaire au tueur glacial, de l'homme brisé au coach toxique. Une des derniers superstars minimalistes, dans ce XXIème siècle qui a peur des silences et ne jure que par les punchlines. 
"Pourquoi Tom Cruise est un acteur sous-estimé", c'est en lien dans ma bio et en ligne sur @ellefr 

1 - "Cocktail" de Roger Donaldson (1988)
2 - "Magnolia" de Paul Thomas Anderson (1999)
3 - "Entretien avec un vampire" de Neil Jordan (1994)
4 - "Minority Report" de Steven Spielberg (2002)
5 - "Collateral" de Michael Mann (2004)
6 - "Né un 4 Juillet" d'Oliver Stone (1999)
7 - "Mission Impossible - Fallout" de Christopher McQuarrie (2018)
8 - "Eyes Wide Shut" de Stanley Kubrick (2000)
9 - "Jours de tonnerre" de Tony Scott (1990)
10 - "La Firme" de Sydney Pollack (1993)
11 - "Austin Powers Goldmember" de Jay Roach (2002)
12 - Le dimanche 15 mai 2022 à Londres

#tomcruise
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Nous n'allions pas en rester là, n'est-ce pas ? Le côté casse-cou, venu assez tard dans sa carrière, à lui seul me fascine. Pour tout ce qu'il raconte en creux du personnage, et de sa solitude. Une quête éperdue d'apesanteur, aux limites de l'autodestruction. . Mais parce que je suis une personne âgée et que j'ai vu la plupart de ses films en salles, je sais aussi tout ce que Tom Cruise est d'autre, du beau gosse solaire au tueur glacial, de l'homme brisé au coach toxique. Une des derniers superstars minimalistes, dans ce XXIème siècle qui a peur des silences et ne jure que par les punchlines. "Pourquoi Tom Cruise est un acteur sous-estimé", c'est en lien dans ma bio et en ligne sur @ellefr 1 - "Cocktail" de Roger Donaldson (1988) 2 - "Magnolia" de Paul Thomas Anderson (1999) 3 - "Entretien avec un vampire" de Neil Jordan (1994) 4 - "Minority Report" de Steven Spielberg (2002) 5 - "Collateral" de Michael Mann (2004) 6 - "Né un 4 Juillet" d'Oliver Stone (1999) 7 - "Mission Impossible - Fallout" de Christopher McQuarrie (2018) 8 - "Eyes Wide Shut" de Stanley Kubrick (2000) 9 - "Jours de tonnerre" de Tony Scott (1990) 10 - "La Firme" de Sydney Pollack (1993) 11 - "Austin Powers Goldmember" de Jay Roach (2002) 12 - Le dimanche 15 mai 2022 à Londres #tomcruise
il y a 4 jours
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Elle avait donné ses instructions depuis longtemps. « Pas de noir, hein ? Vous mettrez de la couleur. » Alors on s’est tous faits beaux, comme pour un mariage.
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Elle avait donné ses instructions depuis longtemps. « Pas de noir, hein ? Vous mettrez de la couleur. » Alors on s’est tous faits beaux, comme pour un mariage.
il y a 1 semaine
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Je passe mon temps à me retenir d’acheter trop de livres. Mais sur une aire d’autoroute, si une perle se présente, je ne résiste quasiment jamais.
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Je passe mon temps à me retenir d’acheter trop de livres. Mais sur une aire d’autoroute, si une perle se présente, je ne résiste quasiment jamais.
il y a 1 semaine
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Ici Bali la bricole, avec sa dernière expérience capillaire. 
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J’étais inconsolable depuis la disparition de mon produit fétiche, le #woolshake de @redken, qui donnait du volume aux cheveux même longs sans les graisser ni les cartonner. Ça sentait super bon et ça tenait vraiment la journée. 
.
Je n’ai jamais trouvé d’équivalent depuis le temps (quasiment dix ans, non ?) et je ne dis pas que je l’ai aujourd’hui mais… c’est ce que j’ai obtenu de plus proche = de la crème solaire en spray, vaporisée dans le creux des mains et froissée aux doigts dans les longueurs, sur cheveux bien essorés. 
.
Je noue le tout, encore mouillé, en chignasse, une grosse demi-journée au moins, et quand je dénoue les cheveux sont secs et volumineux avec un petit effet wavy. 
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Là je viens de prendre la photo, je suis à J+1 du shampooing. 
.
J’ai utilisé ma crème solaire habituelle, à savoir la Nuxe indice 50 en « spray fondant » (swipez) mais je suis prête à parier que ça marche avec une crème solaire du même genre, c’est-à-dire une texture suffisamment liquide pour être diffusée en spray. 
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Voilà c’était mon tuto beauté annuel, je suis tranquille jusqu’en 2023.
Ici Bali la bricole, avec sa dernière expérience capillaire. 
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J’étais inconsolable depuis la disparition de mon produit fétiche, le #woolshake de @redken, qui donnait du volume aux cheveux même longs sans les graisser ni les cartonner. Ça sentait super bon et ça tenait vraiment la journée. 
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Je n’ai jamais trouvé d’équivalent depuis le temps (quasiment dix ans, non ?) et je ne dis pas que je l’ai aujourd’hui mais… c’est ce que j’ai obtenu de plus proche = de la crème solaire en spray, vaporisée dans le creux des mains et froissée aux doigts dans les longueurs, sur cheveux bien essorés. 
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Je noue le tout, encore mouillé, en chignasse, une grosse demi-journée au moins, et quand je dénoue les cheveux sont secs et volumineux avec un petit effet wavy. 
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Là je viens de prendre la photo, je suis à J+1 du shampooing. 
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Le côté casse-cou, venu assez tard dans sa carrière, à lui seul me fascine. Pour tout ce qu'il raconte en creux du personnage, et de sa solitude. Une quête éperdue d'apesanteur, aux limites de l'autodestruction.
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Mais parce que je suis une personne âgée et que j'ai vu la plupart de ses films en salles, je sais aussi tout ce que Tom Cruise est d'autre, du beau gosse solaire au tueur glacial, de l'homme brisé au coach toxique. Une des derniers superstars minimalistes, dans ce XXIème siècle qui a peur des silences et ne jure que par les punchlines. 
"Pourquoi Tom Cruise est un acteur sous-estimé", c'est en lien dans ma bio et en ligne sur @ellefr 

1 - "Cocktail" de Roger Donaldson (1988)
2 - "Magnolia" de Paul Thomas Anderson (1999)
3 - "Entretien avec un vampire" de Neil Jordan (1994)
4 - "Minority Report" de Steven Spielberg (2002)
5 - "Collateral" de Michael Mann (2004)
6 - "Né un 4 Juillet" d'Oliver Stone (1999)
7 - "Mission Impossible - Fallout" de Christopher McQuarrie (2018)
8 - "Eyes Wide Shut" de Stanley Kubrick (2000)
9 - "Jours de tonnerre" de Tony Scott (1990)
10 - "La Firme" de Sydney Pollack (1993)
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Je passe mon temps à me retenir d’acheter trop de livres. Mais sur une aire d’autoroute, si une perle se présente, je ne résiste quasiment jamais.
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Je passe mon temps à me retenir d’acheter trop de livres. Mais sur une aire d’autoroute, si une perle se présente, je ne résiste quasiment jamais.
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Des mâles alpha, de la tôle et des egos froissés, de l’essence et de l’électricité cramés sans compter… « Drive to Survive », c’est encore plus décadent que « Succession ». Presqu’un bras d’honneur à tout ce que l’époque (et le bon sens) nous préconisent au quotidien. Sans l’excuse de la fiction mais avec toutes ses armes. 
.
Dans « Comment je suis devenue accro à Drive to survive » je vous parle de la série documentaire tellement dramaaaaa de @netflixfr, mais aussi des 3 années où j’ai dit « ouais non », de l’ennui profond que m’inspirait la F1, de ce concours de frein à main auquel j’ai participé il y a mille ans, de ce que j’ai connu des paddocks en tant que compagne de pilote moto, et de pourquoi ce spectacle tellement pas 2022 est rafraîchissant à regarder en 2022. 

C’est en lien dans ma bio et sur @ellefr (swipez pour lire le début)
.
#drivetosurvive #carlossainz
Des mâles alpha, de la tôle et des egos froissés, de l’essence et de l’électricité cramés sans compter… « Drive to Survive », c’est encore plus décadent que « Succession ». Presqu’un bras d’honneur à tout ce que l’époque (et le bon sens) nous préconisent au quotidien. Sans l’excuse de la fiction mais avec toutes ses armes. 
.
Dans « Comment je suis devenue accro à Drive to survive » je vous parle de la série documentaire tellement dramaaaaa de @netflixfr, mais aussi des 3 années où j’ai dit « ouais non », de l’ennui profond que m’inspirait la F1, de ce concours de frein à main auquel j’ai participé il y a mille ans, de ce que j’ai connu des paddocks en tant que compagne de pilote moto, et de pourquoi ce spectacle tellement pas 2022 est rafraîchissant à regarder en 2022. 

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Des mâles alpha, de la tôle et des egos froissés, de l’essence et de l’électricité cramés sans compter… « Drive to Survive », c’est encore plus décadent que « Succession ». Presqu’un bras d’honneur à tout ce que l’époque (et le bon sens) nous préconisent au quotidien. Sans l’excuse de la fiction mais avec toutes ses armes. 
.
Dans « Comment je suis devenue accro à Drive to survive » je vous parle de la série documentaire tellement dramaaaaa de @netflixfr, mais aussi des 3 années où j’ai dit « ouais non », de l’ennui profond que m’inspirait la F1, de ce concours de frein à main auquel j’ai participé il y a mille ans, de ce que j’ai connu des paddocks en tant que compagne de pilote moto, et de pourquoi ce spectacle tellement pas 2022 est rafraîchissant à regarder en 2022. 

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#drivetosurvive #carlossainz
Des mâles alpha, de la tôle et des egos froissés, de l’essence et de l’électricité cramés sans compter… « Drive to Survive », c’est encore plus décadent que « Succession ». Presqu’un bras d’honneur à tout ce que l’époque (et le bon sens) nous préconisent au quotidien. Sans l’excuse de la fiction mais avec toutes ses armes. 
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Dans « Comment je suis devenue accro à Drive to survive » je vous parle de la série documentaire tellement dramaaaaa de @netflixfr, mais aussi des 3 années où j’ai dit « ouais non », de l’ennui profond que m’inspirait la F1, de ce concours de frein à main auquel j’ai participé il y a mille ans, de ce que j’ai connu des paddocks en tant que compagne de pilote moto, et de pourquoi ce spectacle tellement pas 2022 est rafraîchissant à regarder en 2022. 

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Des mâles alpha, de la tôle et des egos froissés, de l’essence et de l’électricité cramés sans compter… « Drive to Survive », c’est encore plus décadent que « Succession ». Presqu’un bras d’honneur à tout ce que l’époque (et le bon sens) nous préconisent au quotidien. Sans l’excuse de la fiction mais avec toutes ses armes. . Dans « Comment je suis devenue accro à Drive to survive » je vous parle de la série documentaire tellement dramaaaaa de @netflixfr, mais aussi des 3 années où j’ai dit « ouais non », de l’ennui profond que m’inspirait la F1, de ce concours de frein à main auquel j’ai participé il y a mille ans, de ce que j’ai connu des paddocks en tant que compagne de pilote moto, et de pourquoi ce spectacle tellement pas 2022 est rafraîchissant à regarder en 2022. C’est en lien dans ma bio et sur @ellefr (swipez pour lire le début) . #drivetosurvive #carlossainz
il y a 2 semaines
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« Vu de l’extérieur, notre conglomérat de fashionistas assumées, qui aimaient les mêmes lieux et achetaient la même chose, excitait les théories. Toutes copines ou toutes ennemies, les blogueuses ?

Nous formions un inquiétant troupeau, forcément lobotomisé, dont on raillait l’entre-soi autant que les rivalités. Gare à celles qui brillaient un peu trop et lâchaient les copines ! Quoique nous fassions, nous avions tout faux. Que nous ayons bon ou mauvais goût, gagné ou dépensé de l’argent, que nous soyons devenues Garance Doré ou pas… »
.
« Ce qu’être blogueuse mode m’a appris », c’est en lien dans ma bio et en ligne sur @ellefr (swipez pour lire le début)
.
(oui c’est l’entonnoir des chroniques qui arrivent toutes en même temps, et vous étiez tellement au taquet sur le papier « fantasmes secrets » d’hier que j’ai pas encore répondu à tous vos commentaires 🤣 !) 
.
📸 @chloebaret
« Vu de l’extérieur, notre conglomérat de fashionistas assumées, qui aimaient les mêmes lieux et achetaient la même chose, excitait les théories. Toutes copines ou toutes ennemies, les blogueuses ?

Nous formions un inquiétant troupeau, forcément lobotomisé, dont on raillait l’entre-soi autant que les rivalités. Gare à celles qui brillaient un peu trop et lâchaient les copines ! Quoique nous fassions, nous avions tout faux. Que nous ayons bon ou mauvais goût, gagné ou dépensé de l’argent, que nous soyons devenues Garance Doré ou pas… »
.
« Ce qu’être blogueuse mode m’a appris », c’est en lien dans ma bio et en ligne sur @ellefr (swipez pour lire le début)
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(oui c’est l’entonnoir des chroniques qui arrivent toutes en même temps, et vous étiez tellement au taquet sur le papier « fantasmes secrets » d’hier que j’ai pas encore répondu à tous vos commentaires 🤣 !) 
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📸 @chloebaret
« Vu de l’extérieur, notre conglomérat de fashionistas assumées, qui aimaient les mêmes lieux et achetaient la même chose, excitait les théories. Toutes copines ou toutes ennemies, les blogueuses ?

Nous formions un inquiétant troupeau, forcément lobotomisé, dont on raillait l’entre-soi autant que les rivalités. Gare à celles qui brillaient un peu trop et lâchaient les copines ! Quoique nous fassions, nous avions tout faux. Que nous ayons bon ou mauvais goût, gagné ou dépensé de l’argent, que nous soyons devenues Garance Doré ou pas… »
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« Ce qu’être blogueuse mode m’a appris », c’est en lien dans ma bio et en ligne sur @ellefr (swipez pour lire le début)
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(oui c’est l’entonnoir des chroniques qui arrivent toutes en même temps, et vous étiez tellement au taquet sur le papier « fantasmes secrets » d’hier que j’ai pas encore répondu à tous vos commentaires 🤣 !) 
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« Vu de l’extérieur, notre conglomérat de fashionistas assumées, qui aimaient les mêmes lieux et achetaient la même chose, excitait les théories. Toutes copines ou toutes ennemies, les blogueuses ? Nous formions un inquiétant troupeau, forcément lobotomisé, dont on raillait l’entre-soi autant que les rivalités. Gare à celles qui brillaient un peu trop et lâchaient les copines ! Quoique nous fassions, nous avions tout faux. Que nous ayons bon ou mauvais goût, gagné ou dépensé de l’argent, que nous soyons devenues Garance Doré ou pas… » . « Ce qu’être blogueuse mode m’a appris », c’est en lien dans ma bio et en ligne sur @ellefr (swipez pour lire le début) . (oui c’est l’entonnoir des chroniques qui arrivent toutes en même temps, et vous étiez tellement au taquet sur le papier « fantasmes secrets » d’hier que j’ai pas encore répondu à tous vos commentaires 🤣 !) . 📸 @chloebaret
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Ici Bali la bricole, avec sa dernière expérience capillaire. 
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J’étais inconsolable depuis la disparition de mon produit fétiche, le #woolshake de @redken, qui donnait du volume aux cheveux même longs sans les graisser ni les cartonner. Ça sentait super bon et ça tenait vraiment la journée. 
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Je n’ai jamais trouvé d’équivalent depuis le temps (quasiment dix ans, non ?) et je ne dis pas que je l’ai aujourd’hui mais… c’est ce que j’ai obtenu de plus proche = de la crème solaire en spray, vaporisée dans le creux des mains et froissée aux doigts dans les longueurs, sur cheveux bien essorés. 
.
Je noue le tout, encore mouillé, en chignasse, une grosse demi-journée au moins, et quand je dénoue les cheveux sont secs et volumineux avec un petit effet wavy. 
.
Là je viens de prendre la photo, je suis à J+1 du shampooing. 
.
J’ai utilisé ma crème solaire habituelle, à savoir la Nuxe indice 50 en « spray fondant » (swipez) mais je suis prête à parier que ça marche avec une crème solaire du même genre, c’est-à-dire une texture suffisamment liquide pour être diffusée en spray. 
.
Voilà c’était mon tuto beauté annuel, je suis tranquille jusqu’en 2023.
Ici Bali la bricole, avec sa dernière expérience capillaire. 
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J’étais inconsolable depuis la disparition de mon produit fétiche, le #woolshake de @redken, qui donnait du volume aux cheveux même longs sans les graisser ni les cartonner. Ça sentait super bon et ça tenait vraiment la journée. 
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Je n’ai jamais trouvé d’équivalent depuis le temps (quasiment dix ans, non ?) et je ne dis pas que je l’ai aujourd’hui mais… c’est ce que j’ai obtenu de plus proche = de la crème solaire en spray, vaporisée dans le creux des mains et froissée aux doigts dans les longueurs, sur cheveux bien essorés. 
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Je noue le tout, encore mouillé, en chignasse, une grosse demi-journée au moins, et quand je dénoue les cheveux sont secs et volumineux avec un petit effet wavy. 
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Là je viens de prendre la photo, je suis à J+1 du shampooing. 
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J’ai utilisé ma crème solaire habituelle, à savoir la Nuxe indice 50 en « spray fondant » (swipez) mais je suis prête à parier que ça marche avec une crème solaire du même genre, c’est-à-dire une texture suffisamment liquide pour être diffusée en spray. 
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Voilà c’était mon tuto beauté annuel, je suis tranquille jusqu’en 2023.
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Ici Bali la bricole, avec sa dernière expérience capillaire. . J’étais inconsolable depuis la disparition de mon produit fétiche, le #woolshake de @redken, qui donnait du volume aux cheveux même longs sans les graisser ni les cartonner. Ça sentait super bon et ça tenait vraiment la journée. . Je n’ai jamais trouvé d’équivalent depuis le temps (quasiment dix ans, non ?) et je ne dis pas que je l’ai aujourd’hui mais… c’est ce que j’ai obtenu de plus proche = de la crème solaire en spray, vaporisée dans le creux des mains et froissée aux doigts dans les longueurs, sur cheveux bien essorés. . Je noue le tout, encore mouillé, en chignasse, une grosse demi-journée au moins, et quand je dénoue les cheveux sont secs et volumineux avec un petit effet wavy. . Là je viens de prendre la photo, je suis à J+1 du shampooing. . J’ai utilisé ma crème solaire habituelle, à savoir la Nuxe indice 50 en « spray fondant » (swipez) mais je suis prête à parier que ça marche avec une crème solaire du même genre, c’est-à-dire une texture suffisamment liquide pour être diffusée en spray. . Voilà c’était mon tuto beauté annuel, je suis tranquille jusqu’en 2023.
il y a 3 jours
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1/6
Nous n'allions pas en rester là, n'est-ce pas ?
Le côté casse-cou, venu assez tard dans sa carrière, à lui seul me fascine. Pour tout ce qu'il raconte en creux du personnage, et de sa solitude. Une quête éperdue d'apesanteur, aux limites de l'autodestruction.
.
Mais parce que je suis une personne âgée et que j'ai vu la plupart de ses films en salles, je sais aussi tout ce que Tom Cruise est d'autre, du beau gosse solaire au tueur glacial, de l'homme brisé au coach toxique. Une des derniers superstars minimalistes, dans ce XXIème siècle qui a peur des silences et ne jure que par les punchlines. 
"Pourquoi Tom Cruise est un acteur sous-estimé", c'est en lien dans ma bio et en ligne sur @ellefr 

1 - "Cocktail" de Roger Donaldson (1988)
2 - "Magnolia" de Paul Thomas Anderson (1999)
3 - "Entretien avec un vampire" de Neil Jordan (1994)
4 - "Minority Report" de Steven Spielberg (2002)
5 - "Collateral" de Michael Mann (2004)
6 - "Né un 4 Juillet" d'Oliver Stone (1999)
7 - "Mission Impossible - Fallout" de Christopher McQuarrie (2018)
8 - "Eyes Wide Shut" de Stanley Kubrick (2000)
9 - "Jours de tonnerre" de Tony Scott (1990)
10 - "La Firme" de Sydney Pollack (1993)
11 - "Austin Powers Goldmember" de Jay Roach (2002)
12 - Le dimanche 15 mai 2022 à Londres

#tomcruise
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Nous n'allions pas en rester là, n'est-ce pas ? Le côté casse-cou, venu assez tard dans sa carrière, à lui seul me fascine. Pour tout ce qu'il raconte en creux du personnage, et de sa solitude. Une quête éperdue d'apesanteur, aux limites de l'autodestruction. . Mais parce que je suis une personne âgée et que j'ai vu la plupart de ses films en salles, je sais aussi tout ce que Tom Cruise est d'autre, du beau gosse solaire au tueur glacial, de l'homme brisé au coach toxique. Une des derniers superstars minimalistes, dans ce XXIème siècle qui a peur des silences et ne jure que par les punchlines. "Pourquoi Tom Cruise est un acteur sous-estimé", c'est en lien dans ma bio et en ligne sur @ellefr 1 - "Cocktail" de Roger Donaldson (1988) 2 - "Magnolia" de Paul Thomas Anderson (1999) 3 - "Entretien avec un vampire" de Neil Jordan (1994) 4 - "Minority Report" de Steven Spielberg (2002) 5 - "Collateral" de Michael Mann (2004) 6 - "Né un 4 Juillet" d'Oliver Stone (1999) 7 - "Mission Impossible - Fallout" de Christopher McQuarrie (2018) 8 - "Eyes Wide Shut" de Stanley Kubrick (2000) 9 - "Jours de tonnerre" de Tony Scott (1990) 10 - "La Firme" de Sydney Pollack (1993) 11 - "Austin Powers Goldmember" de Jay Roach (2002) 12 - Le dimanche 15 mai 2022 à Londres #tomcruise
il y a 4 jours
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2/6
Elle avait donné ses instructions depuis longtemps. « Pas de noir, hein ? Vous mettrez de la couleur. » Alors on s’est tous faits beaux, comme pour un mariage.
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Elle avait donné ses instructions depuis longtemps. « Pas de noir, hein ? Vous mettrez de la couleur. » Alors on s’est tous faits beaux, comme pour un mariage.
il y a 1 semaine
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3/6
Je passe mon temps à me retenir d’acheter trop de livres. Mais sur une aire d’autoroute, si une perle se présente, je ne résiste quasiment jamais.
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Je passe mon temps à me retenir d’acheter trop de livres. Mais sur une aire d’autoroute, si une perle se présente, je ne résiste quasiment jamais.
il y a 1 semaine
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4/6
Des mâles alpha, de la tôle et des egos froissés, de l’essence et de l’électricité cramés sans compter… « Drive to Survive », c’est encore plus décadent que « Succession ». Presqu’un bras d’honneur à tout ce que l’époque (et le bon sens) nous préconisent au quotidien. Sans l’excuse de la fiction mais avec toutes ses armes. 
.
Dans « Comment je suis devenue accro à Drive to survive » je vous parle de la série documentaire tellement dramaaaaa de @netflixfr, mais aussi des 3 années où j’ai dit « ouais non », de l’ennui profond que m’inspirait la F1, de ce concours de frein à main auquel j’ai participé il y a mille ans, de ce que j’ai connu des paddocks en tant que compagne de pilote moto, et de pourquoi ce spectacle tellement pas 2022 est rafraîchissant à regarder en 2022. 

C’est en lien dans ma bio et sur @ellefr (swipez pour lire le début)
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#drivetosurvive #carlossainz
Des mâles alpha, de la tôle et des egos froissés, de l’essence et de l’électricité cramés sans compter… « Drive to Survive », c’est encore plus décadent que « Succession ». Presqu’un bras d’honneur à tout ce que l’époque (et le bon sens) nous préconisent au quotidien. Sans l’excuse de la fiction mais avec toutes ses armes. 
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Dans « Comment je suis devenue accro à Drive to survive » je vous parle de la série documentaire tellement dramaaaaa de @netflixfr, mais aussi des 3 années où j’ai dit « ouais non », de l’ennui profond que m’inspirait la F1, de ce concours de frein à main auquel j’ai participé il y a mille ans, de ce que j’ai connu des paddocks en tant que compagne de pilote moto, et de pourquoi ce spectacle tellement pas 2022 est rafraîchissant à regarder en 2022. 

C’est en lien dans ma bio et sur @ellefr (swipez pour lire le début)
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#drivetosurvive #carlossainz
Des mâles alpha, de la tôle et des egos froissés, de l’essence et de l’électricité cramés sans compter… « Drive to Survive », c’est encore plus décadent que « Succession ». Presqu’un bras d’honneur à tout ce que l’époque (et le bon sens) nous préconisent au quotidien. Sans l’excuse de la fiction mais avec toutes ses armes. 
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Dans « Comment je suis devenue accro à Drive to survive » je vous parle de la série documentaire tellement dramaaaaa de @netflixfr, mais aussi des 3 années où j’ai dit « ouais non », de l’ennui profond que m’inspirait la F1, de ce concours de frein à main auquel j’ai participé il y a mille ans, de ce que j’ai connu des paddocks en tant que compagne de pilote moto, et de pourquoi ce spectacle tellement pas 2022 est rafraîchissant à regarder en 2022. 

C’est en lien dans ma bio et sur @ellefr (swipez pour lire le début)
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Des mâles alpha, de la tôle et des egos froissés, de l’essence et de l’électricité cramés sans compter… « Drive to Survive », c’est encore plus décadent que « Succession ». Presqu’un bras d’honneur à tout ce que l’époque (et le bon sens) nous préconisent au quotidien. Sans l’excuse de la fiction mais avec toutes ses armes. 
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Dans « Comment je suis devenue accro à Drive to survive » je vous parle de la série documentaire tellement dramaaaaa de @netflixfr, mais aussi des 3 années où j’ai dit « ouais non », de l’ennui profond que m’inspirait la F1, de ce concours de frein à main auquel j’ai participé il y a mille ans, de ce que j’ai connu des paddocks en tant que compagne de pilote moto, et de pourquoi ce spectacle tellement pas 2022 est rafraîchissant à regarder en 2022. 

C’est en lien dans ma bio et sur @ellefr (swipez pour lire le début)
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il y a 2 semaines
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5/6
« Vu de l’extérieur, notre conglomérat de fashionistas assumées, qui aimaient les mêmes lieux et achetaient la même chose, excitait les théories. Toutes copines ou toutes ennemies, les blogueuses ?

Nous formions un inquiétant troupeau, forcément lobotomisé, dont on raillait l’entre-soi autant que les rivalités. Gare à celles qui brillaient un peu trop et lâchaient les copines ! Quoique nous fassions, nous avions tout faux. Que nous ayons bon ou mauvais goût, gagné ou dépensé de l’argent, que nous soyons devenues Garance Doré ou pas… »
.
« Ce qu’être blogueuse mode m’a appris », c’est en lien dans ma bio et en ligne sur @ellefr (swipez pour lire le début)
.
(oui c’est l’entonnoir des chroniques qui arrivent toutes en même temps, et vous étiez tellement au taquet sur le papier « fantasmes secrets » d’hier que j’ai pas encore répondu à tous vos commentaires 🤣 !) 
.
📸 @chloebaret
« Vu de l’extérieur, notre conglomérat de fashionistas assumées, qui aimaient les mêmes lieux et achetaient la même chose, excitait les théories. Toutes copines ou toutes ennemies, les blogueuses ?

Nous formions un inquiétant troupeau, forcément lobotomisé, dont on raillait l’entre-soi autant que les rivalités. Gare à celles qui brillaient un peu trop et lâchaient les copines ! Quoique nous fassions, nous avions tout faux. Que nous ayons bon ou mauvais goût, gagné ou dépensé de l’argent, que nous soyons devenues Garance Doré ou pas… »
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« Ce qu’être blogueuse mode m’a appris », c’est en lien dans ma bio et en ligne sur @ellefr (swipez pour lire le début)
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(oui c’est l’entonnoir des chroniques qui arrivent toutes en même temps, et vous étiez tellement au taquet sur le papier « fantasmes secrets » d’hier que j’ai pas encore répondu à tous vos commentaires 🤣 !) 
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📸 @chloebaret
« Vu de l’extérieur, notre conglomérat de fashionistas assumées, qui aimaient les mêmes lieux et achetaient la même chose, excitait les théories. Toutes copines ou toutes ennemies, les blogueuses ?

Nous formions un inquiétant troupeau, forcément lobotomisé, dont on raillait l’entre-soi autant que les rivalités. Gare à celles qui brillaient un peu trop et lâchaient les copines ! Quoique nous fassions, nous avions tout faux. Que nous ayons bon ou mauvais goût, gagné ou dépensé de l’argent, que nous soyons devenues Garance Doré ou pas… »
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il y a 2 semaines
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