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16 janvier 2019

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Jouer les ladies en Italie et les bobos à l'île de Ré.
Partir les mains dans les poches en Grèce. 
Être suréquipée pour affronter la montagne, la Bretagne ou les averses landaises. 
.
Chaque destination de vacances est une partition, un rôle à tenir, un storytelling vestimentaire. 
.
Et si vous faisiez tout sauf ce qu'on attend de vous ? 
.
"Ces dresscodes qui font touriste (et comment les éviter)", c'est en lien dans ma bio et en ligne sur @ellefr
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Jouer les ladies en Italie et les bobos à l'île de Ré. Partir les mains dans les poches en Grèce. Être suréquipée pour affronter la montagne, la Bretagne ou les averses landaises. . Chaque destination de vacances est une partition, un rôle à tenir, un storytelling vestimentaire. . Et si vous faisiez tout sauf ce qu'on attend de vous ? . "Ces dresscodes qui font touriste (et comment les éviter)", c'est en lien dans ma bio et en ligne sur @ellefr
il y a 2 jours
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1/6
3 ans que je n’avais pas vu la plupart de ces visages, si intimes. 
3 ans que je ne m’étais pas avancée sur cette scène si particulière, la rédaction d’un quotidien. 

Partir de là-bas, c’est toujours disparaître un peu. 
Soit on quitte le journal pour un poste plus exposé encore, soit on décroche. Comme on descend d’un train lancé à pleine vitesse. 
Et avec mes enfants en bas âge, mes livres, mes élèves, mon nouveau statut de pigiste, je fais partie de ceux qui ont décroché.
De ceux à qui on demandera : « Alooooors, comment tu vas ?? Ton livre sur les pompiers, ça a bien marché ? C’est quoi le prochain ? »
De ceux à qui on lancera avec affection « tu n’as pas changé ! » Alors que si, je sais très bien que j’ai changé. 

Et rien que d’y penser, j’ai commencé à stresser. 
.
.
« Et toi, qu’est-ce que tu deviens ? » c’est une histoire de pot de départ et de retrouvailles, et c’est le thème de ma prochaine newsletter. 
Elle sera dans vos boîtes mail ce jeudi 30 juin à 17h. 
Lien dans ma bio pour vous abonner, si vous ne m’avez pas déjà suivie sur ma nouvelle plateforme @kesselfr
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3 ans que je n’avais pas vu la plupart de ces visages, si intimes. 3 ans que je ne m’étais pas avancée sur cette scène si particulière, la rédaction d’un quotidien. Partir de là-bas, c’est toujours disparaître un peu. Soit on quitte le journal pour un poste plus exposé encore, soit on décroche. Comme on descend d’un train lancé à pleine vitesse. Et avec mes enfants en bas âge, mes livres, mes élèves, mon nouveau statut de pigiste, je fais partie de ceux qui ont décroché. De ceux à qui on demandera : « Alooooors, comment tu vas ?? Ton livre sur les pompiers, ça a bien marché ? C’est quoi le prochain ? » De ceux à qui on lancera avec affection « tu n’as pas changé ! » Alors que si, je sais très bien que j’ai changé. Et rien que d’y penser, j’ai commencé à stresser. . . « Et toi, qu’est-ce que tu deviens ? » c’est une histoire de pot de départ et de retrouvailles, et c’est le thème de ma prochaine newsletter. Elle sera dans vos boîtes mail ce jeudi 30 juin à 17h. Lien dans ma bio pour vous abonner, si vous ne m’avez pas déjà suivie sur ma nouvelle plateforme @kesselfr
il y a 6 jours
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Marcher sur des graviers et/ou de la pelouse, piétiner, transpirer, être percutée par des enfants (ou des adultes) plus ou moins propres (ou sobres), vous tacher, faire des chorégraphies embarrassantes. Voire, s’il y a des jeux un peu kitsch pendant la réception (les meilleurs, avouez), courir sur du carrelage mouillé… 

Voilà tout ce qui vous guette à chaque fois que vous rejoignez une noce. 

Le sachant, vous ne pouvez pas vous contenter de porter une tenue qui vous met en valeur. Vous ne passerez pas la nuit.

« 10 conseils stylés pour survivre », c’est notre grande saga de l’été. 
Et voici l’épisode 2 : la saison des mariages.

En lien dans ma bio et en ligne sur @ellefr
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Marcher sur des graviers et/ou de la pelouse, piétiner, transpirer, être percutée par des enfants (ou des adultes) plus ou moins propres (ou sobres), vous tacher, faire des chorégraphies embarrassantes. Voire, s’il y a des jeux un peu kitsch pendant la réception (les meilleurs, avouez), courir sur du carrelage mouillé… Voilà tout ce qui vous guette à chaque fois que vous rejoignez une noce. Le sachant, vous ne pouvez pas vous contenter de porter une tenue qui vous met en valeur. Vous ne passerez pas la nuit. « 10 conseils stylés pour survivre », c’est notre grande saga de l’été. Et voici l’épisode 2 : la saison des mariages. En lien dans ma bio et en ligne sur @ellefr
il y a 1 semaine
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Un dimanche matin à Montreuil. Thank you @lou_in_paris & @johnberdah for hosting me. Et au divin Oscar de m’avoir laissé pénétrer son territoire.
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Un dimanche matin à Montreuil. Thank you @lou_in_paris & @johnberdah for hosting me. Et au divin Oscar de m’avoir laissé pénétrer son territoire.
il y a 1 semaine
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Je suis comme tout le monde, je ne raffole pas des critiques mais j’essaie d’en tirer quelque chose quand j’en reçois. Ici, clarifier ce qui n’est peut-être plus si clair.
 
J’ai toujours écrit pour des supports payants. Chez @leparisien autrefois, sur @ellefr aujourd’hui.
 
Pour les nostalgiques de mon blog et de ses longs billets, il y a ma newsletter, plus adaptée aux usages actuels d’Internet et qui me permet une grande liberté de ton.
 
Pour ceux qui n’aiment pas l’idée de souscrire à une newsletter, il y a Instagram, où je relaie à la fois mon activité professionnelle, des sujets légers et des textes personnels, dans la limite des 2200 signes habituels. J’ai toujours aimé les textes courts, ils n’empêchent pas de dire des choses qui nous tiennent à cœur. Ça fait partie des techniques rédactionnelles que j’enseigne dans mes formations d’ailleurs.
 
Donc non, les règles n’ont pas changé. 
 
Mes contenus payants, qui sont mon métier, ont toujours existé. Et se perpétueront.
 
Mes contenus gratuits existent toujours eux aussi. Sur plusieurs formats, par plusieurs canaux, et se perpétueront. 
 
Je connais les effets de l’algorithme sur IG, 80 % de mes abonnés ne voient pas ce que je publie. Ou voient des trucs qui remontent anarchiquement et ne correspondent pas forcément à leurs attentes.
 
Si certains textes sont invisibles pour la lectrice avec qui j’ai échangé cet après-midi, discussion dont j’ai extrait les citations ci-dessus, je n’y peux hélas pas grand chose. Alors je pose ces réflexions ici.
 
Pour qu’elles nourrissent peut-être ceux d’entre vous qui auraient le même ressenti.
 
Voilà ce que je peux vous dire sur ce que j’écris, ce que je fais et comment je le fais.
 
J’ai envie d’écrire là où les lecteurs sont, et ils sont sur Internet. Cet automne, je commencerai un nouveau manuscrit, mon quatrième. Il ne sera pas publié par un éditeur papier, mais en temps réel, en ligne, sur une plate-forme payante. Chapitre par chapitre. Et chaque mois, un extrait sera gratuit. Comme on feuillette un livre en librairie, avant de l’acheter ou pas.
Les règles n’ont pas changé, les supports seulement. Je fais ce que j’ai toujours fait. Écrire.
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Je suis comme tout le monde, je ne raffole pas des critiques mais j’essaie d’en tirer quelque chose quand j’en reçois. Ici, clarifier ce qui n’est peut-être plus si clair. J’ai toujours écrit pour des supports payants. Chez @leparisien autrefois, sur @ellefr aujourd’hui. Pour les nostalgiques de mon blog et de ses longs billets, il y a ma newsletter, plus adaptée aux usages actuels d’Internet et qui me permet une grande liberté de ton. Pour ceux qui n’aiment pas l’idée de souscrire à une newsletter, il y a Instagram, où je relaie à la fois mon activité professionnelle, des sujets légers et des textes personnels, dans la limite des 2200 signes habituels. J’ai toujours aimé les textes courts, ils n’empêchent pas de dire des choses qui nous tiennent à cœur. Ça fait partie des techniques rédactionnelles que j’enseigne dans mes formations d’ailleurs. Donc non, les règles n’ont pas changé. Mes contenus payants, qui sont mon métier, ont toujours existé. Et se perpétueront. Mes contenus gratuits existent toujours eux aussi. Sur plusieurs formats, par plusieurs canaux, et se perpétueront. Je connais les effets de l’algorithme sur IG, 80 % de mes abonnés ne voient pas ce que je publie. Ou voient des trucs qui remontent anarchiquement et ne correspondent pas forcément à leurs attentes. Si certains textes sont invisibles pour la lectrice avec qui j’ai échangé cet après-midi, discussion dont j’ai extrait les citations ci-dessus, je n’y peux hélas pas grand chose. Alors je pose ces réflexions ici. Pour qu’elles nourrissent peut-être ceux d’entre vous qui auraient le même ressenti. Voilà ce que je peux vous dire sur ce que j’écris, ce que je fais et comment je le fais. J’ai envie d’écrire là où les lecteurs sont, et ils sont sur Internet. Cet automne, je commencerai un nouveau manuscrit, mon quatrième. Il ne sera pas publié par un éditeur papier, mais en temps réel, en ligne, sur une plate-forme payante. Chapitre par chapitre. Et chaque mois, un extrait sera gratuit. Comme on feuillette un livre en librairie, avant de l’acheter ou pas. Les règles n’ont pas changé, les supports seulement. Je fais ce que j’ai toujours fait. Écrire.
il y a 2 semaines
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Ironie de cet appel à témoins ici, forcément.
.
Si vous voyez ce message c’est que vous y êtes, mais que peut-être, autour de vous, quelqu’un a décidé de quitter le réseau. Pas momentanément. Pour de bon. Et me raconterait comment ça se passe. 
.
Tous ces regards qui, d’un coup, disparaissent.
Le temps et l’énergie investis autrement. 
La peur des opportunités perdues, finalement surmontée. 
Les rechutes peut-être, comme on tenterait d’arrêter la clope. 
.
« Ma vie sans Instagram » : je recherche plusieurs témoignages pour ce papier, qui paraîtra cet été sur le site du @ellefr ! 
.
Faites-moi signe en DM ou à hello@balibulle.com pour me recommander un témoin.
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Ironie de cet appel à témoins ici, forcément. . Si vous voyez ce message c’est que vous y êtes, mais que peut-être, autour de vous, quelqu’un a décidé de quitter le réseau. Pas momentanément. Pour de bon. Et me raconterait comment ça se passe. . Tous ces regards qui, d’un coup, disparaissent. Le temps et l’énergie investis autrement. La peur des opportunités perdues, finalement surmontée. Les rechutes peut-être, comme on tenterait d’arrêter la clope. . « Ma vie sans Instagram » : je recherche plusieurs témoignages pour ce papier, qui paraîtra cet été sur le site du @ellefr ! . Faites-moi signe en DM ou à [email protected] pour me recommander un témoin.
il y a 2 semaines
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Jouer les ladies en Italie et les bobos à l'île de Ré.
Partir les mains dans les poches en Grèce. 
Être suréquipée pour affronter la montagne, la Bretagne ou les averses landaises. 
.
Chaque destination de vacances est une partition, un rôle à tenir, un storytelling vestimentaire. 
.
Et si vous faisiez tout sauf ce qu'on attend de vous ? 
.
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Jouer les ladies en Italie et les bobos à l'île de Ré. Partir les mains dans les poches en Grèce. Être suréquipée pour affronter la montagne, la Bretagne ou les averses landaises. . Chaque destination de vacances est une partition, un rôle à tenir, un storytelling vestimentaire. . Et si vous faisiez tout sauf ce qu'on attend de vous ? . "Ces dresscodes qui font touriste (et comment les éviter)", c'est en lien dans ma bio et en ligne sur @ellefr
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3 ans que je n’avais pas vu la plupart de ces visages, si intimes. 
3 ans que je ne m’étais pas avancée sur cette scène si particulière, la rédaction d’un quotidien. 

Partir de là-bas, c’est toujours disparaître un peu. 
Soit on quitte le journal pour un poste plus exposé encore, soit on décroche. Comme on descend d’un train lancé à pleine vitesse. 
Et avec mes enfants en bas âge, mes livres, mes élèves, mon nouveau statut de pigiste, je fais partie de ceux qui ont décroché.
De ceux à qui on demandera : « Alooooors, comment tu vas ?? Ton livre sur les pompiers, ça a bien marché ? C’est quoi le prochain ? »
De ceux à qui on lancera avec affection « tu n’as pas changé ! » Alors que si, je sais très bien que j’ai changé. 

Et rien que d’y penser, j’ai commencé à stresser. 
.
.
« Et toi, qu’est-ce que tu deviens ? » c’est une histoire de pot de départ et de retrouvailles, et c’est le thème de ma prochaine newsletter. 
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Voilà tout ce qui vous guette à chaque fois que vous rejoignez une noce. 

Le sachant, vous ne pouvez pas vous contenter de porter une tenue qui vous met en valeur. Vous ne passerez pas la nuit.

« 10 conseils stylés pour survivre », c’est notre grande saga de l’été. 
Et voici l’épisode 2 : la saison des mariages.

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Je suis comme tout le monde, je ne raffole pas des critiques mais j’essaie d’en tirer quelque chose quand j’en reçois. Ici, clarifier ce qui n’est peut-être plus si clair.
 
J’ai toujours écrit pour des supports payants. Chez @leparisien autrefois, sur @ellefr aujourd’hui.
 
Pour les nostalgiques de mon blog et de ses longs billets, il y a ma newsletter, plus adaptée aux usages actuels d’Internet et qui me permet une grande liberté de ton.
 
Pour ceux qui n’aiment pas l’idée de souscrire à une newsletter, il y a Instagram, où je relaie à la fois mon activité professionnelle, des sujets légers et des textes personnels, dans la limite des 2200 signes habituels. J’ai toujours aimé les textes courts, ils n’empêchent pas de dire des choses qui nous tiennent à cœur. Ça fait partie des techniques rédactionnelles que j’enseigne dans mes formations d’ailleurs.
 
Donc non, les règles n’ont pas changé. 
 
Mes contenus payants, qui sont mon métier, ont toujours existé. Et se perpétueront.
 
Mes contenus gratuits existent toujours eux aussi. Sur plusieurs formats, par plusieurs canaux, et se perpétueront. 
 
Je connais les effets de l’algorithme sur IG, 80 % de mes abonnés ne voient pas ce que je publie. Ou voient des trucs qui remontent anarchiquement et ne correspondent pas forcément à leurs attentes.
 
Si certains textes sont invisibles pour la lectrice avec qui j’ai échangé cet après-midi, discussion dont j’ai extrait les citations ci-dessus, je n’y peux hélas pas grand chose. Alors je pose ces réflexions ici.
 
Pour qu’elles nourrissent peut-être ceux d’entre vous qui auraient le même ressenti.
 
Voilà ce que je peux vous dire sur ce que j’écris, ce que je fais et comment je le fais.
 
J’ai envie d’écrire là où les lecteurs sont, et ils sont sur Internet. Cet automne, je commencerai un nouveau manuscrit, mon quatrième. Il ne sera pas publié par un éditeur papier, mais en temps réel, en ligne, sur une plate-forme payante. Chapitre par chapitre. Et chaque mois, un extrait sera gratuit. Comme on feuillette un livre en librairie, avant de l’acheter ou pas.
Les règles n’ont pas changé, les supports seulement. Je fais ce que j’ai toujours fait. Écrire.
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.
Tous ces regards qui, d’un coup, disparaissent.
Le temps et l’énergie investis autrement. 
La peur des opportunités perdues, finalement surmontée. 
Les rechutes peut-être, comme on tenterait d’arrêter la clope. 
.
« Ma vie sans Instagram » : je recherche plusieurs témoignages pour ce papier, qui paraîtra cet été sur le site du @ellefr ! 
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